Le rappeur tunisien Weld el 15 condamné a deux ans de prison par la justice tunisienne pour une chanson contre la police alors même que les fondamentalistes responsables de l'attaque contre l'ambassade des Etats Unis en septembre 2012 sont relaxés.
Une "justice a deux vitesses", des policiers qui frappent des journalistes dont les plaintes restent sans suite montrent bien que depuis le 23 ocotobre 2011, le système Ben Ali semblent renaître de ses cendres si tant est qu'il ait jamais été éradiqué.
Pour les islamistes au pouvoir, tout est en "transition" , et "provisoire" exceptés les procès expéditifs de la liberté d'expression.
La position du Tunisien moyen ne peut etre que solidaire de ces citoyens que l'on cherche a baillonner de force, de ces femmes dont les droits sont rognés par un pouvoir islamiste, car chacun est potentiellement victime de l'arbitraire.