La joggeuse de 33 ans a été retrouvée morte jeudi, à Nîmes, près du cimetière du chemin des sangliers. (© Google Maps)

Meurtre de la joggeuse : l'ADN et le portrait-robot vont-ils parler ?

Suite au meurtre d'une joggeuse, jeudi dernier, dans la ville gardoise de Nîmes, un premier portrait-robot a été établi et les analyses ADN vont révéler leur verdict.

L'enquête avance sur le meurtre de la joggeuse de 33 ans retrouvée morte jeudi, près du cimetière du chemin des sangliers proche du quartier pavillonnaire de Courbessac, situés à la périphérie de Nîmes, en Languedoc-Roussillon.

Une trace d'ADN pourrait être identifiée (le résultat des analyses est attendu pour ce lundi) et un premier portrait-robot a été établi sur la base de l'un des témoignages recueillis au numéro d'appel à témoins lancé par le SRPJ de Montpellier au 04.67.99.35.97.

Actuellement entre les mains de la police, ce portrait robot pourrait être diffusé à la presse et au public dans les deux à trois prochains jours, après avoir été affiné et si les enquêteurs le jugent nécessaire.

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